Sur les 19 décès liés à la pilule en 2011, 14 sont «attribuables» aux contraceptifs de troisième et quatrième générations.


Sur les 19 décès liés à la pilule en 2011, 14 sont «attribuables» aux contraceptifs de troisième et quatrième générations. Photo Mychèle Daniau. AFP 
Pour la première fois, une étude estime les dangers du contraceptif oral. Selon elle, 20 morts par an lui seraient imputables.

Il marche sur des œufs, pèse chacun de ses mots. Dominique Maraninchi, directeur de l’Agence de sécurité du médicament (ANSM), présentait hier matin les résultats de son étude sur l’estimation du nombre de victimes liées à la prise de pilules contraceptives. «Le nombre de morts est très interpellant, reconnaît-il. Sur 4,5 millions de femmes prenant la pilule en France, on relie [à cet usage] en moyenne 20 morts par embolie pulmonaire chaque année.»

C’est la première fois que sont publiées en France des données précises sur les risques de la contraception orale depuis le dépôt de la plainte, en décembre, par une jeune femme handicapée à cause d’un accident vasculaire cérébral qu’elle impute à la pilule. S’en est suivi un vent de panique et de suspicion sur ce petit comprimé qu’avalent chaque jour la moitié des Françaises âgées de 15 à 49 ans. Jusqu’ici, les seules données épidémiologiques fiables reposaient sur des projections menées à l’échelle européenne. Cette étude apporte un nouvel éclairage, pas des plus rassurants, et déjà critiqué.


Combien de victimes par an ?

Sur les 4,5 millions d’utilisatrices, 20 femmes âgées de 15 à 49 ans meurent en moyenne chaque année d’un accident thromboembolique veineux lié à la pilule, selon cette étude. Sur les 19 décès enregistrés en 2011, 14 sont «attribuables» aux contraceptifs de 3e et 4e générations et 5 aux pilules de 1re et 2e générations. Rappelons que la différence essentielle entre ces types de pilules tient à la nature du progestatif utilisé. En modifiant la molécule, les laboratoires espéraient une diminution des effets secondaires, comme la prise de poids. Sauf que rien n’a été prouvé scientifiquement à ce jour…

L’ANSM parle par ailleurs de 2 529 «accidents», comme des phlébites, dont 1 751 attribuables aux pilules de 3e et 4e générations. «Ces chiffres sont fondés sur les déclarations volontaires des médecins et centres hospitaliers, qui sont en dessous de la réalité», critique Philippe Courtois, avocat de victimes de la pilule. Autre bémol, cette étude mesure seulement le risque veineux. Or, la pilule présente un autre danger, d’ordre artériel, qui se révèle sensiblement identique, quel que soit le type de pilule. Ce risque n’a, lui, pas encore été évalué. «Sur ce point, nous attendons beaucoup de l’enquête menée en ce moment avec la Caisse nationale d’assurance maladie», précise l’ANSM. Les résultats devraient être connus dans deux mois.


Les usages ont-ils évolué ?

En février, les ventes de pilules de 3e et 4e générations ont chuté de 34% par rapport à février 2012. Dans le même temps, les pilules de deuxième génération ont fait un bond de 27%. «On constate un report massif, mais qui n’est pas complet. Si on prend l’ensemble des pilules, on enregistre une baisse globale de 2% en février par rapport à l’année dernière», indique Mahmoud Zureik, auteur de l’étude et ancien chercheur à l’Inserm.

Quant aux autres moyens de contraception, les ventes de patchs et anneaux (qui contiennent le même progestatif que les pilules de 3e génération) ont reculé de 13% en février. Le stérilet et l’implant ont progressé, eux, de 44%. Cette dernière donnée est toutefois à relativiser : le nombre de stérilets posés étant relativement faible, cette augmentation ne concerne que quelques milliers de femmes…

Autre information marquante : tout mode de contraception confondu (hors préservatif), on enregistre une baisse des ventes de 1,4% en février. Les Françaises se protègent donc moins. Leurs partenaires ont du coup plus recours à la capote ? Impossible à dire, répond l’ANSM, qui s’est appuyée sur un échantillon de 3 000 pharmacies. Or, les préservatifs sont aussi en vente libre dans les supermarchés. La pilule du lendemain, en revanche, est en légère augmentation (+ 1%).

Et maintenant ?

Sur la défensive, désireux d’éviter tout parallèle avec le scandale du Mediator, Dominique Maraninchi a martelé que «toute mort évitable doit être évitée», notant qu’en limitant le recours aux pilules de3e et 4e générations, on pourrait sauver «neuf vies» par an. Puis, assurant agir «en toute transparence» : «On va refaire le film à l’envers. On a recommandé aux médecins de prescrire plutôt une pilule de deuxième génération. On a aussi demandé une modification de l’autorisation de mise sur le marché : le processus est engagé au niveau européen, cela prend un peu de temps. On va lancer aussi un grand plan d’information.» Avant l’été, promis, les femmes se verront distribuer avec leur plaquette un petit récapitulatif des risques et contre-indications, comme fumer.


L’ail est connu pour être un légume extrêmement efficace, qui peut fournir un nombre immense de bienfaits pour la santé. La liste des maladies que l’ail peut tuer est longue, et comprend:

  • Infection par Helicobacter pylori
  • Infection à Candida (levure)
  • Muguet (prolifération fongique dans la cavité orale)
  • Aflatoxicose associée aux mycotoxines
  • Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (MRSA)
  • Infection à Klebsiella
  • Infection par le VIH-1
  • Infection à Vibrio
  • Pseudomonas Aerigonosima (y compris les souches résistantes aux médicaments)
  • Mycobacterium tuberculosis, infection à Clostridium résistante aux médicaments
  • Infection à Cytomégalovirus
  • Infections virales (Herpes Simplex 1 et 2, virus Parainfluenza de type 3, virus de la vaccine, virus de la stomatite vésiculaire et le rhinovirus humain de type 2)
  • Infection au streptocoque du groupe B



Ce n’est qu’une petite partie des problèmes de santé où l’ail peut être d’une grande utilité en raison de ses puissantes propriétés pour lutter contre l’infection.

Ce légume étonnant a été utilisé pour traiter et guérir le cancer à travers les âges. Même Hippocrate recommandait la consommation de grandes quantités d’ail écrasé en tant que remède contre le cancer.

Si vous décidez de guérir votre cancer en utilisant cet ingrédient remarquable comme antifongique, vous devriez prendre au moins 5-6 gousses d’ail (écrasé) par jour. Il y a environ 12 gousses dans une tête d’ail entière.

En outre, notez que vous devez le laisser reposer pendant au moins 15 minutes après qu’elles aient été écrasées. Ce laps de temps est nécessaire pour libérer une enzyme (allinase) qui produit ces composés antifongiques et anticancéreux.

Cependant, vous pouvez manger de l’ail cru ou cuit dans le cadre des repas, mais selon les recherches, les suppléments d’ail ne produisent pas les mêmes résultats anticancéreux et anti-fongiques.

L’ail s’imprègne également dans la littérature de recherche: la base de données biomédicale connue sous le nom de MEDLINE, fournie par la National Library of Medicine, contient 4245 résumés d’études sur l’ail.

D’après les données qui y sont fournies, l’ail est extrêmement important pour prévenir ou traiter plus de 150 problèmes de santé, allant du cancer au diabète, des infections à l’accumulation de plaque dans les artères, des dommages à l’ADN à l’empoisonnement au mercure.

 

En outre, dans la recherche sur Greenmedinfo.com, il a également été indiqué que l’ail est efficace dans 167 problèmes de santé ou symptômes de maladie, mais la plus grande densité de la recherche se trouve dans le rôle de l’ail pour la prévention et/ou le traitement des maladies cardiovasculaires et des cancers, les deux principales causes de décès dans les pays à revenu élevé.

Peu coûteux, à l’épreuve du temps, sûr et délicieux, les remèdes naturels et les épices comme l’ail sauvent des vies, et par conséquent, dans les temps anciens, beaucoup valaient leur pesant d’or.

Aujourd’hui, même si nous sommes conscients de leur puissance et commençons à en être de plus en plus convaincus, il semble que les médecins vont toujours prescrire des médicaments dans le cadre de nos traitements.

Par conséquent, vous êtes responsable de votre propre santé. Apprenez comment vous pouvez utiliser la nature pour améliorer votre santé et utilisez toujours ces ingrédients s’ils fonctionnent et sont sûrs.

A l'heure où gronde la polémique autour des contraceptifs de troisième et quatrième génération, les laboratoires avancent leur dernière trouvaille, la pilule à œstrogène naturel. Progrès médical ou coup marketing ?


Quand elles ont fait leur apparition dans les années 1990 et 2000, les pilules de troisième et quatrième génération étaient à la pointe du contraceptif. Fini l’acné, adieu la prise de poids, bye bye les nausées. Les comprimés prenaient des noms séduisants. La pilule s’appelait alors Jasmine, Diane ou Melodia.

Puis patatras. La douce musique s’arrête à la fin de l’année 2012. On accuse les petites dernières de risque thromboembolique. Un caillot qui obstrue une veine, une artère et l’accident vasculaire cérébral ou l’embolie pulmonaire ne sont pas loin. Un événement rarissime, mais pas impossible.

C’est la panique à bord. Surtout qu’en France, la pilule est le premier moyen de contraception utilisé. On s’y perd. SOS gynéco, je change de pilule ? Je m’arrache les cheveux ? Je deviens nonne ?

Zen... La petite dame a l’air perdu. Rassurons-la. Voilà que déboule une énième pilule. Mais « naturelle » celle-là. Ah bah si c’est naturel... Il n’en existe que deux à l’heure actuelle. La pionnière, Qlaira, mise sur le marché en 2009 par le groupe Bayer Santé. Puis sa petite sœur, Zoely, créée en 2012 par Teva. Pas la chaîne télé, la Teva pharmaceutical industries LTD.


« La pilule écolo, de quoi s’étrangler »

Ce sont les pilules à œstrogène naturel. Le professeur Patrice Lopes, gynécologue au CHU de Nantes, a présenté Qlaira lors de sa sortie en 2009. Il explique : « Qlaira a deux composants, un œstrogène et un progestatif. L’œstrogène classique utilisé est l’éthinylestradiol. Dans le cas de Qlaira, c’est l’estradiol. On parle d’un œstrogène naturel, car c’est le même que celui sécrété par l’ovaire. »

Du côté de Formindep, l’association de médecins militant pour une formation et une information médicales indépendantes, c’est un autre son de cloche. « Ça ressemble pas mal à du greenwashing. Le risque, c’est que dans cette polémique sur la troisième et quatrième génération, ces pilules à l’œstrogène naturel soient présentées comme une alternative. Qu’elles deviennent un argument marketing. » Il faut dire que lorsqu’on se balade sur les forums santé, Zoely et Qlaira sont souvent surnommées les « pilules écolos »... « C’est à s’étrangler quand on lit cela ! », confie Anne Chailleu, membre de Formindep.

Michel Coletti, médecin généraliste, enfonce le clou. « Pour la plupart des gens, un produit naturel est une substance produite par la nature. Ce n’est pas le cas de l’estradiol qui est chimiquement proche de l’hormone produite par l’organisme humain. Mais il n’est pas naturel. »

 

Un progrès... en théorie

Et ça donne quoi tout cela ? Pour le gynécologue nantais, « la pilule Qlaira entraîne moins de troubles du métabolisme hépatique. Elle est mieux tolérée. » Le médecin regrette que ces pilules soient « encore trop peu prescrites », car non remboursées. Il en est persuadé : « C’est un progrès, mais encore très théorique. » Théorique ? Oui, car les pilules à œstrogène naturel ont été examinées lors d’études comparatives. En clair, elles ont donc été comparées à des pilules de deuxième génération, et cela sur un échantillon de 3 000 femmes. « Mais il faudrait attendre d’avoir étudié 10 à 100 000 personnes pour connaître la supériorité de cette pilule par rapport aux autres, avoue Patrice Lopes, avant de trancher : On utilise le progrès, ou on attend la certitude des choses et on revient à la préhistoire ! »

On ne sait en fait que peu de choses de ces nouveaux contraceptifs. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Anses) explique d’ailleurs qu’« aucune étude épidémiologique n’est disponible concernant les effets des pilules estroprogestatives à base d’estradiol ».


« On ne sait pratiquement rien des risques cardiovasculaires »

La revue scientifique Prescrire conclut que « l’estradiol n’est pas un progrès ». « Les effets indésirables de l’association estradiol + diénogest (soit la pilule Qlaira, ndlr), tels que les nausées, les tensions mammaires, les céphalées sont globalement les mêmes qu’avec les autres estroprogestatifs. Tout en insistant sur le fait qu’on ne sait pratiquement rien sur les risques d’accidents cardiovasculaires, notamment thromboemboliques ».

La pilule divise la profession. « La référence internationalement admise depuis quarante ans, c’est l’éthinylestradiol, rappelle le médecin Michel Coletti, qui préfère jouer la prudence. Dans l’état actuel des connaissances, il n’y a rien de mieux. »



Messieurs, pas de jaloux ! Il est vrai que dans la série des substances cachées des marques, lorsqu’on aborde les produits de cosmétiques, on s’adresse surtout à la gent féminine. Cette fois-ci, c’est autour d’un produit typiquement masculin : la mousse à raser. Enfin, ne vous réjouissez pas trop vite car vous risquez de ne pas bien apprécier ce que l’on peut trouver à l’intérieur d’une bombe de mousse à raser…


Dans bombe de mousse à raser, il y a bombe

Des milliers de poils assaillent le visage des hommes chaque jour : leur peau est ainsi soumise aux joies quotidiennes du rasage, ses mousses, ses lames, ses coupures… Les soins dédiés au rasage, crèmes, mousses ou baumes après-rasage sont des éléments indispensables à leur trousse de toilette pour hydrater et protéger la peau. Mais tous les produits ne se valent pas, loin de là !

Que d’évolution en matière de produits de rasage : le coupe-choux a cédé sa place au rasoir jetable, le savon à barbe et son blaireau ont été remplacés par la bombe de mousse à raser. Ils deviennent de plus en plus techniques et offrent de plus en plus de confort.

Après la seconde guerre mondiale, le fameux couple savon/blaireau s’est vu évincé par la bombe, qui délivre une mousse onctueuse de manière instantanée. C’est à partir de ce moment là que les industriels ont continuellement cherché à améliorer le produit. Dans les années 1990, c’est l’avènement du gel de rasage.


Bombes de gel ou de mousse sous pression sont donc devenues courantes car très pratiques et agréables. La mousse qu’elles délivrent se trouve être superbement aérée grâce à la présence… de gaz butane et propane dans leur formule ! Les gaz servent à propulser la mousse hors de son flacon.

Les aérosols sont des produits inflammables. Ils ne doivent pas être exposés à la chaleur car le risque d’explosion existe. La présence de gaz rend le tri sélectif délicat : si les aérosols ne sont pas complètement vides, ils peuvent être dangereux à cause du gaz résiduel.


En plus de faire grossir, l'abus d'hamburger favoriserait asthme, rhinite allergique ou eczéma.
En plus de faire grossir, l'abus d'hamburger favoriserait asthme, rhinite allergique ou eczéma. (AFP - MYCHELE DANIAU)
Selon une étude parue lundi, les enfants et les adolescents qui consomment de la nourriture de type fast-food plus de trois fois par semaine ont un risque accru de souffrir d'asthme sévère, de rhinite allergique et d'eczéma.

L'étude se fonde sur des données obtenues sur 319 000 adolescents âgés de 13 à 14 ans, et 181 000 enfants âgés de 6 à 7 ans, participant à une grande étude internationale sur l'asthme et les allergies pendant l'enfance (ISAAC) entamée en 1991 et impliquant une centaine de pays au total.


Les chercheurs, dirigés par le Pr Innes Asher, de l'Université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, ont interrogé les adolescents et les parents des enfants plus jeunes sur leur régime alimentaire et sur la gravité des symptômes respiratoires observés au cours des 12 derniers mois.


Attention au fast-food plus de trois fois par semaine

Ils ont découvert que le fast-food était le seul type de nourriture "associé" à une aggravation des symptômes dans les deux groupes d'enfants et quel que soit le pays, le niveau social ou le sexe. Trois repas ou plus de type hamburger par semaine augmenteraient ainsi le risque d'avoir un asthme sévère de 39% chez les adolescents et de 27% chez les enfants de six à sept ans.

Ils augmenteraient aussi les chances d'avoir une rhinite allergique ou un eczéma graves, selon l'étude publiée dans la revue Thorax, qui fait partie du groupe British Medical Journal (BMJ).


Au lieu d'hamburgers, manger des fruits

La consommation de fruits trois fois ou plus par semaine semble en revanche avoir un effet protecteur, avec une réduction de la gravité des symptômes de 11% chez les adolescents et de 14% chez les enfants. Les chercheurs relèvent qu'il ne s'agit pas d'un lien de cause à effet, mais d'une "association" statistique qui doit faire l'objet de travaux supplémentaires.

"Si cette association (...) était prouvée, elle aurait une signification majeure en termes de santé publique alors que la consommation de fast-food continue à augmenter au niveau mondial", ajoutent les chercheurs.



Un communiqué diffusé le 2 avril 2013 par la Société Française de Rhumatologie (SFR) attire l'attention du public sur de nombreuses études mettant en évidence l'augmentation du risque d'accident cardiovasculaire avec la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Notant que les AINS les moins à risque ne sont pas les plus prescrits, la SFR suggère un changement dans les pratiques des prescripteurs.

 

Quels risques d'accidents cardiovasculaires liés à la prise prolongée de Voltarène® ?


L'augmentation des risques cardiovasculaires associés à la prise prolongée d'AINS fait ces dernières années l'objet de nombreuses études et recommandations. Utilisés à dose maximale sur de longues périodes, les AINS sont tous associés à une variation - plus ou moins importante - du risque d'accident cardiovasculaire (ACV).


Dans son communiqué du 2 avril 2013, la SFR rappelle que, tenant compte de l'évaluation du rapport bénéfices-risques des AINS, il convient de respecter les règles suivantes :


Les AINS doivent être prescrits à la plus petite dose efficace pour la durée la plus courte possible.
Compte-tenu de leurs effets, la prescription des AINS, et en particulier du diclofenac, doit faire l'objet d’une évaluation particulière chez les patients à risque cardiovasculaire (angor, infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral y compris l’accident ischémique transitoire, artériopathie des membres inférieurs).
En fonction des données actuelles, le naproxène est l'AINS de choix pour un traitement au long cours chez un patient à risque cardiovasculaire.
Il est conseillé aux patients actuellement sous diclofenac de ne pas interrompre par eux-mêmes leur traitement et de se rapprocher de leur médecin pour évaluer l'intérêt de le poursuivre.


Une méta-analyse publiée en 2011 soulignait ainsi un risque triple d'accident vasculaire cérébral pour des patients à terrain favorable prenant, sur le long terme, des doses très élevées d'ibuprofène… Dans la pratique, l'ibuprofène n'est que rarement utilisé de façon intensive dans des traitements "au long cours". Le diclofénac (Voltarène®), en revanche, est l'AINS le plus prescrit au monde.

Quand bien même les risques d'ACV associés à la prise régulière de cette molécule apparaissent modérés, ils sont bien supérieurs à ceux liés à d'autres AINS bien moins prescrits. Cette très importante étude faisait ainsi apparaître que le risque de mortalité cardiovasculaire était quadruple dans le cas du diclofénac, comparé au naproxène.

"En fonction des données actuelles, le naproxène est l'AINS de choix pour un traitement au long cours chez un patient à risque cardiovasculaire," souligne de fait la Société Française de Rhumatologie.

"Notre réaction fait suite à une étude publiée par PLoS Med en mars 2013", nous explique le professeur Berenbaum, membre de la SFR. "Cette étude va très loin dans ses conclusions, suggérant même le retrait du diclofénac. L'Agence européenne des médicaments a également initié, en novembre, une réévaluation du rapport bénéfice/risque des médicaments à base de diclofénac, au vu des alternatives existantes."


L'augmentation du risque d'ACV lors d'une prise régulière d'AINS chez les personnes présentant un terrain favorable reste modérée. "Mais nous avons une responsabilité vis à vis de nos prescripteurs et de nos patients", conclut le professeur.

Source: 2012un-nouveau-paradigme.com

Saviez-vous que la noix de coco est  une plante très puissante qui peut tuer les bactéries responsables d'endommager les dents?

 

Des scientifiques irlandais ont testé des échantillons d'huile de noix de coco sur la Streptococcus mutans. C'est une bactérie qui colle à nos dents et provoque l'érosion dentaire. L'huile de coco est devenue le meilleur outil pour tuer les bactéries.

Les scientifiques considèrent que l'huile de noix de coco doit être l'ingrédient principal dans les pâtes dentifrices et les bains liquides de bouche. De cette façon, nos dents seront plus protégées qu'avant.

Les caries dentaires ne reçoivent pas l’attention qu’elles mériteraient d’avoir. Elle touche 60 à 90% des enfants et peut également toucher les adultes. Un guide de recherche prétend que si l’huile de coco, modifiée avec des additifs chimique, est transformée en produits d’hygiène dentaire, elle pourra devenir l’outil le plus puissant pour lutter contre les bactéries et d’autres substances nocives qui attaquent nos dents.


Recette de dentifrice à l’huile de coco et au bicarbonate

Dans un bocal stérilisé, mélangez de l’huile de noix coco et du bicarbonate par moitié. Ajoutez 2 gouttes d’huile essentielle de menthe pour parfumer.


L’huile de noix coco tue aussi le champignon microscopique Candida albicans qui provoque des pertes vaginales, des douleurs, des picotements et des sensations de brûlure au moment d’uriner.

L'ail est un ingrédient avec une variété de propriétés bénéfiques.

Il possède des propriétés antibactériennes, guérit de nombreuses maladies, les rhumes, les maladies rénales, et renforce les capillaires et est un bon adaptogène. Dans la médecine chinoise, l'ail est utilisé pour la récupération complète du corps.

En fait, les Chinois utilisent une petite gousse d'ail. Ils l'ont mis dans la bouche et le faire fondre avec leur salive comme si elle était un bonbon. Les Chinois pratiquent cette procédure dans la matinée et il dure environ 30 minutes.

L'effet est vraiment surprenant- la salive avec les nutriments et substances bénéfiques atteint le sang, et nettoie les vaisseaux sanguins ainsi que la lymphe. En outre, l'ail renforce la cavité buccale et des gencives, et en cas de saignement, il a la capacité d'arrêter.
 

Cracher l'ail, après avoir terminé la procédure du matin et bien brosser vos dents. Si vous ne voulez encore sentir l'odeur de l'ail, même après le brossage des dents, prendre quelques grains de café ou feuilles fraîches de persil et les mâcher lentement. Plusieurs gorgées de lait vont supprimer complètement l'odeur de l'ail dans la bouche.

Pourquoi mettre l'ail dans la bouche est très utile et bénéfique?

- Il nettoie le sang

- Il régule l'appétit

- Protège contre la grippe et d'autres maladies de voies respiratoires

- Traite la bronchite chronique

- Il est extrêmement utile dans l'anémie

- Il nettoie la peau

- Il contribue au cas où vous souffrez de maladies rénales et de la vessie.

- Il renforce le système immunitaire


Vous pouvez commencer avec un morceau de quart ou plus petit. Augmentez graduellement la quantité d'ail dont vous devez tenir dans la bouche.

Cette méthode de traitement est très efficace contre la toux et les calculs rénaux persistants.

Beaucoup ont essayé cette méthode et ont été satisfaits des résultats. Si vous arrive de souffrir de l'un des problèmes mentionnés ci-dessus, alors vous devriez certainement essayer cette méthode.



Si vous avez la nécessité de purifier votre sang des graisses et des toxines, ou besoin d'une régénération complète de l'organisme ici est la solution parfaite pour vous.

Cette boisson ne sera pas seulement de renouveler votre corps, mais il sera également se débarrasser de toutes les toxines accumulées.


Ingrédients nécessaires:

2 litres d'eau
1 citron ou 2 citrons verts
1 concombre frais
10 feuilles de menthe

Préparation:

Lavez le concombre et le citron et coupez-les en tranches. Après  mélangez tous, ajouter les feuilles de menthe. Lorsque les trois ingrédients sont combinés, les mettre dans un bol assez grand pour contenir l'eau que vous allez ajouter. Fermez le bol et le stocker dans le réfrigérateur pour refroidir.


Boire deux verres de cette boisson tous les jours. La meilleure période recommandée pour la consommation pour cette boisson est de 15 jours d'affilée. Pour un meilleur effet, essayez d'éviter d'entrer des sucres et des graisses dans votre système.


Si vous voulez être en pleine santé, d'avoir plus d'énergie et de ne pas sentir la maladie, la dépression ou l'hypertension vous devez avoir reste solide dans la nuit et le sommeil profond. Le sommeil aide votre cerveau à fonctionner et la puissance de vos activités quotidiennes aussi, votre corps se concentre sur la récupération et la revitalisation de vos différents systèmes.


Si jamais vous aviez un contact avec l'insomnie ou de tout type de trouble du sommeil vous savez que vous regardez tous les jours comme un monstre et vous marchez autour fatigué et agréable.

Peut-être que le thé de la banane et de la cannelle est la solution que vous pouvez prendre avant de frapper le lit.

Les bananes sont remplies de potassium et de magnésium et ils sont assez bien connus pour améliorer le sommeil. L'anxiété et l'influence négative sur vos muscles et les veines est détruite par ces minéraux.

D'autre part, la cannelle, est connue pour favoriser la relaxation de votre corps. Améliore La circulation et la digestion.


Les ingrédients de cette recette est simple, vous avez besoin d’une banane crue, un litre d'eau et une pincée de cannelle. Premièrement commencer à chauffer l'eau et puis ajoutez la banane pour faire bouillir pendant 10 minutes. Verser l'eau à travers une passoire et le remplir dans la tasse dans laquelle vous allez ajouter petite quantité de cannelle.

Bien que les médicaments puissent vous aider à dormir, ils ne seront pas corriger toutes les raisons fondamentales. Vous devez essayer différentes choses pour se détendre votre corps et augmenter le niveau de sommeil. Vous devez trouver bonne routine pour se détendre votre cerveau aussi.


Si vous voulez éliminer les acides uriques et vous souhaitez réduire votre température du corps, nous vous proposons d’essayer de boire un jus de concombre. Il est efficace et si vous ressentez une douleur dans la gorge tout en buvant, il est un signe que ça fonctionne.


Le gingembre et le céleri est un mélange pour éliminer les toxines. En conséquence également l'inflammation est réduite.



Comment supprimer les cristaux d'acide urique de vos articulations:

Tout d'abord, vous devriez faire du jus de 1 concombre de taille moyenne, 2 côtes de céleri, 1 tranche de citron et 2 pouces de racine de gingembre.

Pour commencer la préparation vous devez nettoyer les ingrédients en premier. Ensuite, vous devez couper le concombre en petits morceaux, couper le citron, préparer les branches de céleri et se tailler la racine de gingembre. En fin les mélanger et placer dans une bouteille. Boire une ou deux fois par jour.




Les personnes qui souffrent de migraine sont généralement soucieux de soigner la douleur, qui généralement représente cet état. Les mauvaises migraines vous emmènent vers le bas pendant votre journée et vous ne parvenez pas à faire vos activités quotidiennes. Parfois, les analgésiques habituels ne faites rien, alors peut-être la meilleure chose à utiliser est tout simplement le sel.



L'utilisation de sel pour le soulagement de la migraine immédiate

Si une personne a un problème avec des migraines et est confrontée à jours constamment et à essaie tous les moyens possibles pour tenter de l'arrêter. Finalement, essayer cette  méthode de sel qui est la plus efficace pour le soulagement de la migraine.

Le sel que vous allez utiliser pour soulager les migraines doit être le sel hautement qualifié comme le sel cristallin de l'Himalaya. Contenant 84 minéraux dont il est le sel le plus efficace et complet dans le monde. Il aide à réduire plusieurs migraines, élève les niveaux d'énergie, équilibre la circulation sanguine, renforce le système immunitaire, neutralise l’acidité du corps et beaucoup plus.


La procédure est simple:

Pour la plupart des jus, la moitié de citron et une cuillère à café de sel fonctionne très bien, mais on peut aussi prendre un verre de jus de citron rempli avec une concentration élevée de sel cristallin de l'Himalaya et de boire tout simplement.